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Cette station associative
nancéienne est créée
en mai 1982 sous le nom de Radio Active,
puis Active FM. En mars 1983, elle est
obligée de fusionner avec Radio
Galipette et s'appelle Galipette-Active
pour finalement prendre son nom
définitif en septembre 1983 : Radio
Graffiti. La station connaîtra de
nombreux avatars, de nombreux changements
d'adresses mais restera fidèle
à sa vocation associative et
traversera les années 80 et 90 avec
une belle constance malgré des
difficultés financières
récurrentes. En 1996, elle est
à bout de souffle. Ses locaux de la
MJC lorraine à Vandoeuvre sont
obsolètes et décrépis
et la nouvelle municipalité ne
soutient plus la station. Elle finit par
émigrer à Maxéville,
autre ville de la banlieue
nancéienne, mais le vol de son
matériel compromet gravement son
existence. Grâce au soutient de la
mairie de Maxéville, elle
réapparaît sur les ondes.
Elle est aujourd'hui une des plus
anciennes radios à émettre
sur Nancy, en dehors du service
public.
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Années 90 : Emission "Autoreverse". En studio : Alex et Géraldine, en régie : Erwin et Jean-Claude. |
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mai 1982 :
Création de Radio
Active
mars 1983 :
Radio Galipettes et Radio
Active fusionnent pour devenir Radio
Galipettes-Active.
19 septembre 1983 :
La station adopte le nom
de Radio Graffiti.
7 février 1984
:
Première
autorisation d'émettre
1996 :
La station
déménage dans une tour HLM
de Maxéville, mais son
matériel est dérobé
sitôt arrivée.
26 sept 1995 :
Renouvellement de
l'autorisation d'émettre
Fin 1997 :
La ville de
Maxéville met un nouveau studio
à disposition de Graffiti.
28 septembre 2000
:
Renouvellement de l'autorisation
d'émettre.
28 septembre 2005
:
Renouvellement de l'autorisation
d'émettre jusqu'au
27/09/2010
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Seb durant
l'émission "Libre
Antenne"
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Christiane Blanc,
Présidente de Graffiti en
2005
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Ont participé à cette radio :
- Christain DELON
- M. JACQUINET
- M;PAGES
- M.MATHERA
- Michel MOREL
- Thierry PERNIN
- Christiane BLANC
- Mickaël COUSOT
- Sébastien GIANNETTI
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Depuis son origine, Radio
Graffiti donne la parole aux
minorités. Elle travaille avec les
communautés portugaises,
algériennes, turques. Elle diffuse
des émissions à destination
des prisonniers ou des homosexuels. Elle
est plutôt classée à
gauche.
Pour consulter son
programme actuel, visiter son site
internet.
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